La prothèse unicompartimentale arrive enfin à maturitéaprès presque un demi-siècle de réflexion, d’hésitation et de recherche. C’est l’école d’Oxford qui a porté haut le flambeau de sa résurrection. Une renaissance, car les orthopédistes distraits de leur histoire avaient oublié pour un temps l’origine même des PTG modernes, tout bonnement deux prothèses unicompartimentales !

Ce livre n’est pas un nouveau paradigme, car la vérité qu’il défend sera peut-être fausse demain. C’est un changement de références, une ouverture d’esprit, un espoir pour de nombreux patients. Au travers de la photographie de leurs activités, il nous faut remercier la quarantaine d’auteurs qui ont participé à sa réalisation.